TOTAL : 1 190 614 €
Institut Bergonié 2016 -2024
40 000 € pour l’achat d’un appareil Minocor destiné à détecter les tumeurs cancéreuses et à faire des recherches.
55 000 € pour l’achat d’une machine innovante Rarecells qui permet à partir d’une simple prise de sang d’isoler les très rares cellules cancéreuses circulantes (CCC). Ce test sanguin est capable de diagnostiquer précocement le cancer, et de permettre de repérer les signes avant-coureurs de la maladie. Une équipe de chercheurs travaille sur ce projet avec des résultats prometteurs.
20 000 € pour l’achat d’un robot qui permet de tester de manière automatisée et à grand débit plusieurs centaines de molécules pour évaluer leur effet sur les cellules cancéreuses prélevées à partir des patients et ainsi de définir de manière plus efficace des stratégies thérapeutiques et de prévention
40 000 € Projet score LYK : Il s’agit d’une nouvelle méthode de comptage automatisé de cellules ou de marqueurs sur les prélèvements de tumeurs, par des techniques de scannage et d’intelligence artificielle : grâce à des algorithmes prédéfini, on peut identifier très précisément ces marqueurs dans certaines zones de la tumeur et les quantifier d’une façon très reproductible et précise.
55 000 € pour financer un projet de recherche sur les cancers du sein triple négatif, projet Princess
20 000 € pour suite projet cancers sein triple négatif
41 863 € pour financer une partie du projet de pathologie numérique.
Total : 270 863 €
CHU Bordeaux 2020 /2024
59 480 € pour le financement de l’intelligence Artificiel dans la détection précoce des tumeurs cancer Colorectal
22 931,62 € pour la plateforme Covid 19 à l’hôpital Saint André 2 hottes à flux laminaire.
85 000 € pour un Vidéo-coloscopes et un vidéo entéroscope cancer colorectal
48 000 € pour un appareil fonctionnant avec immunofluorescence pour mieux détecter le ganglion sentinelle cancer sein mais aussi dans les autres pathologies féminines
100 000 € Pour l’achat d’un matériel innovant : un automate permettant la détection de l’ADN tumoral circulant et/ou des séquences méthylées.
69 000 € pour l’achat d’un générateur de gouttelettes
41 200 € pour l’achat d’une plateforme d’électrophorèse automatisée
100 000 € pour participation à l’achat d’un séquenceur NGS à haut débit
TOTAL : 526 000 €
Clinique Bagatelle 2023 – 2024
52 800 € pour l’achat d’un logiciel pour mammograhie numérique.
L’angiomammographie qui consiste à injecter du produit de contraste iodé avant la réalisation de la mammographie en haute puis basse tension et réalisation instantanée d’une soustraction entre les deux acquisitions pour ne faire « ressortir » que les tumeurs qui sont hypervascularisées.
18 354 € pour l’achat d’un injecteur
40 990 € pour l’achat d’une console de lecture mammographie et un négatoscope
Total 112 344 €
Hôpital du Sud Gironde 2023 – 2025
15 000 € achat d’un coloscope et pinces à biopsie pour dépistage col de l’utérus.
43 151 € pour l’achat d’une sonde optique pour mieux détecter le ganglion sentinelle
33 256 € pour l’achat d’un échographe pour dépister les maladies féminines, une pince pour dépister le cancer du col de l’utérus, et un fauteuil de soin et un casque réfrigérant.
Total : 91 407 €
Hôpital suburbain du Bouscat 2025
44 000 € pour l’achat d’un angiommamographe
Total : 44 000 €
Clinique Bordeaux Nord 2021
25 000 € pour l’achat d’un logiciel pour le nouveau service d’oncogénétique de la Clinique Bordeaux Nord.
25 000 € pour l’achat d’un logiciel le MammoRisk qui est un logiciel expert de prédiction et de prévention qui permet d’estimer le risque de cancer du sein chez la femme à partir de 40 ans.
Total : 50 000 €
En Plus Ces 10 dernières années
80 000 € pour la communication sur le dépistage : affichage sur les bus, le tram, les panneaux Decaux, affiches, marques pages, dépliants.
15 000 € aides aux associations de patientes, dont 5 000 € pour les Elles du Bassin en 2020
TOTAL : 1 190 614 €
une machine Rarecells

pour le dépistage des cellules cancéreuses circulantes dans le sang.
Les membres du Comité et le Professeur Patrizia Paterlini Brechot

François Xavier Mahon, directeur Général de l’Institut Bergonié et le Professeur Gaétan Mac Grogan
